Ca sens mauvais (Haiko)

Il était cinq heures du matin, comme à chaque fois. Il se lève et enfile un jogging et un tee-shirt. Il prend une veste de sport et embarque son téléphone. Il n’avait pas besoin de laisser de mots, vu qu’il ne partageait sa chambre avec personne. Cela lui évitait de réveiller la personne qui partageait sa chambre, s’il faisait un mauvais rêve.  Cela évite aussi qu’il empêche celui-ci de dormir quand il est plongé dans ses bouquins ou qu’il souffre d’insomnie. Les seuls moments, ou il n’est pas dans sa tête, c’est quand il allait courir un peu. Qu’il travaillait et qu’il voyait que certaine personne souffre à cause de douleur physique et non mentale. Il veut devenir chirurgien parce que les douleurs physiques sont beaucoup plus faciles à soigner que les autres douleurs. Il le sait après tout, il avait vu sa mère étendue par terre un sourire une lèvre alors qu’elle venait de mettre fin à sa vie.

Il était devenu muet enfin c’était fait un blocage quand il a découvert sa mère. N’importe quelle enfant aurait eu un blocage émotionnel. Le souci c’est que, certes maintenant, il pouvait parler. Il a juste du mal à se faire des amis et cacher sa famille et surtout qui est son. père n’était pas quelque chose qui était simple.Ce matin encore, il s'était levé tôt pour aller courir. L’endroit qui était calme à son goût surtout à cette heure-là du matin. Il était sûr qu’il n’y aurait personne pour lui rentrer dedans. Puis cela lui permettait de vider ses pensées. C’est pour cela qu’il était encore en train de courir dans le parc Yoyogi à cinq heures du matin quand beaucoup de monde dormait encore.

Alors qu’il était en train de courir tranquillement. Il a le pressentiment qu’une personne est en train de le suivre. Alors il accélère la cadence. Alors qu’il allait sortir du parc. Il voit arriver devant lui deux personnes avec des masques. IL voulut faire demi-tour, mais d'autres étaient derrière lui. Il se retrouve assez rapidement encerclé. Il soupire et retire ses écouteurs. Franchement, il n’avait aucun savoir vivre plusieurs contre une personne.

Le bras battant à l’extérieur, mes doigts essayaient d’attraper le vent qui s’entrelaçait entre eux. Les cheveux libérés, les yeux fermés, je tentais de capter un sentiment de liberté dans la voiture qui se dirigeait vers mon prochain rendez-vous.

Le chef du clan m’avait confié une mission importante à ne pas négliger face aux autres. Un membre du clan Takahashi aurait violé une de nos filles et aurait fracassé la gueule à quelques-uns de nos gars.
Trahison.
Nous devions agir face à ce manque de respect qui clairement, à nos yeux, était une attaque contre notre clan. Le chef m’avait donné carte blanche pour régler cette histoire sans créer une avalanche. Personne ne devait perdre la vie. C’était ce qui m’avait été soumis.

Après quelques recherches, j’avais trouvé que leur chef avait un fils qui séjournait aussi à Todai. Il ne m’était pas compliqué de retrouver les traces de sa progéniture. Il m’a fallu fouiller dans les documents de l’université, suivre de temps en temps l’étudiant pour voir quelle route il prenait et tout était déjà dessiné.

Des gars étaient en train de le suivre. La proie courait de si bon matin. L’objectif était de l’attraper sur le chemin. Pour ma part, j’arrivais tranquillement à son niveau.
Le portable vibra, signe qu’il était temps que j’intervienne.

Mon chauffeur s’arrêta afin que je puisse rejoindre le groupe. Une bonne partie de mon visage était masquée. Dès que j’agissais pour la mafia, je me camouflais afin de garder, pour l’instant, mon identité secrète. Si les médias s’emparaient de la nouvelle, c’était Papa qui serait dans l'embarra. Même si je n’éprouvais pas un immense amour envers mon créateur, je devais un minimum le respecter pour pouvoir profiter de son argent et de sa position pour encore quelques années.

Le coureur encerclé, je me suis mis juste à côté de lui, par surprise, faisant mine de courir et d’être épuisé. Puis, m’écartant de lui en marche arrière, je l’applaudissais pendant que mes gars me rejoignaient pour garantir ma sécurité. Waouh, krrrr ! Je grimaçais, mon regard le balayant haut en bas, les lèvres pincées d’un air impressionné. Tu fais ça chaque matin ? Tu dois être bien baraqué ? Je fixais son torse, la lèvre inférieure croquée.
La personne à ma droite me fila un café. J’avais toujours besoin de ma dose le matin pour ne pas trop dérailler. Après avoir bien expiré le plaisir de cette gorgée, je redonnais le gobelet en plastique pour ne pas être dérangé. Comment ça se passe ? J’ai pas particulièrement envie de te passer dessus ou d’assister à un spectacle violent organisé par mes frères. Une suggestion peut-être ? Je le voyais bien dans son regard qu’il n’était pas con. Il devait avoir l’habitude de ce genre de situation en ayant comme père un boss d’une mafia japonaise. C’étaient les risques et j’adorais profiter de ce genre de situation.
Nous profitons tous de chacun comme des égoïstes.

Il connaissait enfin avait entendu parler du clan Kishimoto-Kai enfin, il avait entendu des sbires parler de ce clan. Comme quoi il échangeait des filles pour pouvoir avoir plus de potentiel. Alors que le clan de son père à Chiba, lui ne se cachait pas. Il avait entendu dire que ceux de Tokyo ne s'assument pas. Enfin, que ce clan se cachait enfin ses membres. Il s'était toujours demandé s’il les membres de ce clan se connaissait déjà entre eux ou c’était des genres de mangemort. Bon, d’accord sa petite sœur lui forçait à lui lire les Harry Potter quand il avait le malheur d’aller voir son père.


Cette fois, il se retrouve devant les membres de ce clan. Une personne normalement constituée aurait eu peur, mais il avait tellement vu le clan de son père le faire. Il sentait plutôt la colère s’insinuer en moi.

Tu fais ça chaque matin . Tu dois être bien baraqué . Il regarde le jeune homme qui venait de prendre la parole. «Ce n'est pas courir chaque matin qui fait qu’une personne est baraquée.» Il regarde les gens qui sont autour de lui se mettant en position de défense au cas où il essaye de bouger.

Il lève un sourcil quand un des mecs donne un café à la personne qu’il avait parlé. Il comprit assez rapidement, que les autres ne bougeront pas le petit doigt tant que monsieur n’aura pas donné d’ordre. Il se détendit un peu et fait face au jeune homme enfin, il pense que c’est un jeune homme vu que sa voix était légèrement plus rauque que la voix d’une fille.


Comment ça se passe ? Je n'ai pas particulièrement envie de te passer dessus ou d’assister à un spectacle violent organisé par mes frères. Une suggestion peut-être ? Il le regarde et dit: « Dites-moi que me vaut le plaisir de votre présence et si c’est pour passer un message au clan Takahashi. Vous vous trompez de fils. Décidé ma petite sœur à quitter vos clubs d’hôtesse et je crois que tout s’arrêtera comme par magie. Si vous en prenez à moi, ça ne vous servira à rien, je suis celui qui ne vaut rien pour mon père.» Son père les avait tout de même formés pour qu’il puisse se défendre au cas où et il avait fait un peu de karaté pour se muscler un peu plus. Vu qu’il ressemblait plus à sa mère et qu’enfant il en a pas mal souffert.

Il ne fallait pas trop tarder dans le parc, car le fils du patron n’était pas le seul à faire sa petite virée sportive tôt le matin. Il faisait froid en plus de cela, je me gelais les mains et je sentais le bout de mes oreilles rougir à cause de la basse température.
Putain, il n’avait pas compris que je plaisantais. Pourtant, je m’entraînais avec l’humour noir, à croire que j’ai choisi la mauvaise armoire. La prochaine fois, j’irais fouiller dans les bouquins du grand-père décédé, peut-être que dans ses étagères poussiéreuses, je pourrais trouver un livre pour apprendre à devenir comique. Je voulais savoir ce que ça faisait que de mourir de rire.
Littéralement.


D’après le monologue de futur médecin, dont je n’avais retenu que la moitié parce que j’étais préoccupé à me curer une oreille, j’avais plus ou moins compris qu’il n’était pas au courant des embrouilles.
Je frappais dans mes mains une fois. L’index tendu, je le secouais sans arrêt, tournant sur moi-même. C’est ça, c’est ça. Les souvenirs surgissaient tout à coup. En direction du garçon, les bras pliés, les mains ouvertes, les paumes vers lui et les yeux grands ouverts, je lui racontais d’une voix plus aigue :
Papa, papa !
Puis, une fois sur deux, je prenais cette voix et l’autre, je l'interprétais plus grave.
Oui ?
Je n’aime pas ma grand-mère !
Eh bien, laisse-la sur le bord de ton assiette et mange le reste !
Après quelques secondes de silence à le faire mariner dans un vide presque malsain, un rire explosa d’entre mes lèvres. Cette blague, je l’avais apprise hier soir avant de me coucher. Je l’avais trouvé fortement intéressante et mes parents m’ont toujours dit de partager avec les autres ce que je trouvais sympathique.

Les rires des hommes qui m’entouraient se firent au bout de quelques secondes. Ils savaient qu’ils devaient agir ainsi, pour me divertir, pour me faire surtout plaisir.
J’avais oublié son histoire avec sa sœur et de son chien. La mémoire des sujets de conversation m’était déjà floue.
Bref.
Il fallait que je reprenne mon sérieux, ce qui se marqua par un raclement de gorge. Un des gars de votre clan a foutu un gros merdier. Que tu sois au courant ou pas de combien d'œufs, il avait dans son panier, je m’en branle. Les traits du visage tirés, le poignet cassé, je regardais le ciel qui tirait petit à petit vers le bleu clair. Que tu sois ou non l’héritier du clan, c’est pas mon problème. Ton père, il a sa fierté comme tous les hommes. Mon visage acquiesça de mes propos.
Je ne connaissais pas ses histoires de famille et je ne voulais surtout pas les savoir. Mon métier n’était pas assistante sociale.
Je me tournais vers mes hommes pour leur apporter la leçon du jour. Il faut endosser ses erreurs comme on endosse ses vertus... avec fierté ! Et transformer, en avantages, les conséquences d'une faute. Le message se destinait aussi bien au jeune médecin qu’à eux. C’était ainsi que ce devait être un Yakuza digne de ce nom.

Il était temps d’arriver au bout de cette mascarade, car le garçon voulait certainement terminer sa course et moi, mes courses. Chance pour lui, je n’étais pas d’une humeur violente. L’humour noir m’avait fait oublier le réveil matinal que j’avais tant haï pour pouvoir le rencontrer.
De nouveau face à la cible, je demandais le portable d’un des mecs. Un clic, puis deux, je venais de prendre en photo le coureur. Agitant l’appareil tel un vulgaire objet, je le prévenais le corps légèrement penché. On va pas te casser la gueule aujourd’hui, mais je garde ces jolis portraits de toi, juste pour signaler à ton cher père que nous avons un œil sur toi.

Debout à regarder les gars qui l'entourent. Pendant que l’autre masqué pense faire de l’humour. Ça énerve sérieusement le petit Yukio, enfin petit pas si petit que ça. Il avait bien grandi, mais la blague sur le cannibalisme et qui parle d’une grand-mère lui glaça le sang. Non pas parce qu’il avait peur, mais bien de colère. Il n’avait qu’une envie d'effacer le sourire narquois de ce mec sur son visage. Alors que les autres guignols qui l'accompagnaient étaient en train de rire comme des truies. Son regard s'assombrit et comme à chaque fois qu’il retenait cette colère pour ne pas exploser, il se mordait l’intérieur de la bouche. Il était tellement en colère qu’il sentit le goût de fer se faire dans sa bouche. Il ne rigola pas à la blague plus que pourri du mec, il se retient de taper sur c’est idiot qui riait comme des débiles et sur ce mec qui devrait manger un clown avant de faire des blagues débiles.

Alors qu’il essayait de se calmer en parlant, c’est avec une moue dégoûtée qu’il vit l’autre mauvais clown se gratouiller l’oreille. Alors je ne vous dis pas, Yukio est un mec qui se lave les mains au moins six voire sept fois par jour. Il se retient de piquer une crise et la goutte d’eau qui manqua de faire déborder le vase, c’est quand l’autre dit qu’il va le prendre en photo.

«Bon écoute-moi bien le clown. Vous avez quelque chose à dire à mon géniteur, vous lui envoyez un de vos gars tabasser ses gars ou une de ses nanas. Ne viens pas me casser les cacahuètes toi et tes petits copains. Parce que les jours où vous aurez besoin qu’un médecin vos faces des soins gratos. Si vous avez le malheur de me demander, ce n'est pas des soins que je vous fais, mais je vous envoie direct à la morgue. »

Il sentait son sang ne faire qu’un tour dans ses veines. Si ce mec n’avait pas été aussi lâche et qu’il aurait eu confiance au fait que si refaisait le portrait du clown. Les autres ne lèveraient pas le petit doigt alors il se serait jeté avec grand plaisir sur ce mec. Juste pour lui faisait ravaler son sourire et son humour pourris.

« Sur ceux, les mangemorts je vous laisse. Certaines personnes bosses.»

Face à sa réaction, je pus comprendre qu’il n’avait pas aimé ma blague. Un soupir exaspéré parti d’entre mes lèvres attristées. Peut-être que le public n’était tout simplement pas le bon. Peut-être qu’il n’aimait pas rire ce type. Il devait manger des cailloux tous les matins pour grincer autant des dents. Ou alors, il devait se laver les dents avec les excréments d’un clébard abandonné pour dire autant d’absurdités.
En tout cas, il en avait des grosses pour oser nous parler d’un tel affront saupoudré d’une petite présomption. Mangemorts ?  Un sourcil s’arqua en réalisant sa description. Je soulevais une de mes manches pour voir si j’avais la trace. Les lèvres retroussées, mon visage exprima une bouille frustrée. J’aimais bien les mangemorts, cette idée de nous me plaisait allégrement. Je me voyais bien me pavaner dans les rues de Tokyo avec une longue cape et un masque argenté. Une aura macabre et machiavélique s’évaporerait à chacun de mes pas.
Je serais un seigneur de la mort.
Un petit éclat de rire fit son apparition à la suite de cette pensée.

Nous nous reverrons, soit s’en certain. Je le laissais partir de son côté puisqu’aujourd’hui, mon but n’était pas de le pourchasser. Le plus important, était que je termine mon café avant qu’il ne refroidisse.

Ainsi, je retournais à l’intérieur de mon véhicule pour rejoindre le QG du clan. J’avais quelques heures à tuer avant que ma journée d’étudiant ne commence. À huis-clos, j’envoyais les photos comme je prévoyais de le faire. Avec ces images, aucun mot n’était nécessaire. Son père allait rapidement comprendre de quoi il s’agissait.

Le soir même, la voiture me déposa devant un bar isolé et peu fréquenté de Shibuya. Me tenant devant, je fixais l’enseigne clignotante tout en mâchant très fort mon chewing-gum dépourvu de toutes saveurs dorénavant.
Je fis une bulle et elle éclata.

À l’intérieur, nous pouvions sentir une odeur de viande grillée et de tabac froid. De la musique ambiançait l’endroit à l'étroit ce qui faisait que les clients parlaient plus fort. Dans cet endroit, je cherchais quelqu’un. Un de mes gars avait suivi ce dernier et m’avait prévenu qu’il se trouvait actuellement dans ce bar paumé.
Tiens, je l’avais trouvé.

Tranquillement, je m’approchais de la personne pour lui donner une petite tape amicale dans le dos. Je pris place à ses côtés pour ensuite, commander avec le doigt levé. Une bière, please. Les bras croisés contre le comptoir, je tournais mon visage joyeux de revoir ce type malchanceux. Yo. Un sourire enjoué éclaira mon visage démasqué. Il ne devrait pas me reconnaître. Peut-être qu’il a les yeux revolver et que mon identité sera démasquée.
Qui sait...

Alors qu’il était en train de partir. Les paroles du jeune homme lui font lever les yeux au ciel.

Nous nous reverrons, soit s’en certain.

Il soupira et s'éloigna du petit groupe qui accepta enfin de le laisser passer. Il regarde sa montre et voit qu'il ne lui restait pas beaucoup de temps. Lui qui faisait cela pour éviter d’être sur les nerfs toute la journée. Il sentit la colère et le dégoût monter en lui. IL aurait bien fait demi-tour pour cogner sur ses têtes d’idiot. Le problème c’était que la violence ne résolvait pas grand-chose et qu'à pars sur le ring, il n’aimait pas utiliser la violence parce qu’il détestait cela.

La journée fut très longue, d’une parce qu’il était en train de travailler sur sa dissertation, mais qu’il avait du mal à se concentrer. D’une parce qu'il y avait trop de bruit à la bibliothèque, qui était normalement un endroit qui devait rester calme et le pire c’est que la bibliothécaire faisait plus de bruit que les étudiants.

Il finit par rentrer chez lui, mais là ce fut le bruit d’une goutte qui tombait dans le lavabo. Il ne pouvait pas aller à la salle de sports, vu qu’il devait aller bosser. Il se prépare et part pour l’hôpital. Il se changea dans un silence ce qui ne changeait pas vraiment quand on connaissait le jeune homme. Il n'adresse pas un regard ou un sourire à ses collègues.

Il part travailler, mais sans sa dose de sport matinal. Qui fut coupé assez rapidement par des gens mal intentionnés. Il tient une heure et vu qu’il n’y avait pas trop de patients. On leur autorise de partir, mais pas trop loin pour qu’il puisse revenir de toute urgence, si jamais on les appelait. Il se dirige vers un bar, qui n’était pas trop fréquenté. Enfin assez pour lui permettre de pas se mélanger avec ses collègues et de travailler avec un café devant lui sur sa dissertation. Malgré l’odeur de fumé et d’alcool, il arrive à écrire sans problème. Il connaissait le patron du bar, vu qu’il l’avait soigné un jour alors que celui-ci avait avalé une boîte de somnifère à cause de son petit ami de l’époque.

Le patron était un mec plus qu’extravagante qui était habillé comme une femme et voulais en être une. Le fait qu’ils ne l'avaient pas jugé à fait qu’il a autorisé les employés de l’hôpital à venir chez lui quand il le souhaitait. Il n’était pas rare qu’il vienne décompresser après une longue et dure journée.

Alors que Yukio était tranquille dans son coin, une personne lui tape amicalement sur le dos. Il n'avait que très peu d’amis et cru que c’était Satoru ou Sora. Bon ça serait plus le genre du plus jeune de venir dans ce genre d’endroit. Il allait chambrer le petit blond, mais ravala sa remarque acerbe et fronça les sourcils en voyant un des étudiants parce que oui il avait déjà vu ce mec sur le campus. Quand il commanda, il leva un sourcil, il avait déjà entendu cette voix, mais vu la fatigue, il avait du mal à se rappeler ou.

«Allez-y, ne vous gênez pas. »