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Au coeur de Tokyo, se trouve la prestigieuse université, Todai, une des plus grandes fiertés du Japon. Les étudiants les plus doués viennent y étudier, venant parfois des quatre coins du monde, afin de s'assurer un avenir brillant.Mais en 2017, à la surprise du pays, ce trésor national éducatif fut racheté par un mastodonte de la finance du nom de Sakamoto Yuichi. Todai est donc devenue au regret de tous, une université privée. Au fil des trois dernières années, on a pu voir plusieurs changement, devenu plus élitiste et couteuse, Todai accueil maintenant principalement des élèves venant de familles aisées, il est devenu rare de voir des boursiers parcourir les couloirs de l'école.→ Connaître la suite

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MessageSujet: Miyamoto Aoi → rougecarmin. galerie   Miyamoto Aoi → rougecarmin. galerie EmptyMar 26 Jan - 23:25


rougecarmin.

J'avoue, je suis une flemmarde qui ne graphe et ne code plus depuis un petit moment maintenant, du coup pour ma part, comme j'avais envie de partager quelque chose avec vous, je vous partage des morceaux de rp que j'ai écrit et qui m'ont donné tellement de feels ou que j'ai particulièrement pris plaisir à écrire par le passé sunny Si jamais un moment je décidais de grapher ou quoi je vous le partagerai ici aussi mais en attendant... Un peu de lecture, en espérant ne pas passer pour une nana qui se sent plus  :afro: (Attention quand même, j'ai mis quelques TW pour éviter de froisser qui que ce soit, j'ai fait de mon mieux)

Citation :
TW : Drogues, alcool, langage dur, idées morbides

J'serais tenté de dire que la connerie humaine se trouve partout. Mais l'endroit où on trouve la plus grosse concentration de la déchéance, c'est ces soirées bourrées de jeunes. Ces soirées clandestines organisées dans le dos de papa et maman. Ces soirées où tu dis merde à tes voisins. Ces soirées où, dès le début, t'as une nana qui a déjà tombé le tee-shirt et qui tient les cheveux de sa copine qui gerbe ses tripes dans le caniveau. Ces soirées un peu plus sauvages que prévu. Rien de rangé. C'est l'bordel.

Je n'aime pas les gens. Je n'ai aucun espoir pour l'humain. Mes semblables me dégoûtent autant que moi-même. Mais ce soir, j'ai envie de me noyer dans la foule, de me perdre un peu, de retrouver un peu ce qui a presque toujours fait ma vie. Ma vie a réellement commencé lors de mon premier shoot. J'veux une cuite. J'veux un trip. Une pouffiasse, blonde comme la Paris Hilton qu'on a toujours connu. Parce que j'en ai rien à foutre des jugements. J'renie la vie depuis mon plus jeune âge. J'lui dis non, j'veux pourrir. Être mort avant la mort. Que mon sang devienne une purée noire qui me sort par tous les orifices. J'veux mourir lors d'une hallucination. J'veux mourir bourré. J'veux mourir dans d’atroces souffrances. Très lentement, mais au zénith de ma vie.

Et je me décomposerai au fond d'un trou qui sent la terre moisie.

Mon cerveau n'est qu'un cheminement de pensées, pas toujours logique, certes, mais qu'est-ce qu'on en a à foutre ? Après cette journée de travail, j'avais juste envie de m'enfoncer dans les méandres de l'alcool et de la dope. Que le temps d'une nuit, la vie ne suive plus son cours. L'égarement me tente bien, après tout, c'est bon de sortir un peu du sentier de temps en temps. Ainsi, j'ai débarqué dans cette soirée. Ce genre de soirée où tu connais pas forcément l'organisateur, uniquement le pote d'un pote d'un pote d'un pote [...] qui t'en a parlé et t'a invité. J'en ai rien à foutre de taper l'incrust' comme ça. Après tout, y'a quoi de mal à ça ?

Citation :
TW : Drogues, alcool, langage dur

L'écoeurante mélasse de mes pensées s'échappe peu à peu en quelques volutes de fumée. Elles se tordent et me rappellent mon instinct premier. Le chanvre brûlé m'apaise, lentement, je m'évade loin des autres. Loin de cette humanité qui fait qu'on en oublie d'être humains. Notre bipédie nous a rendus prétentieux et pourris à l'intérieur. Je vendrais au diable tout le matérialisme humain, tout ce qui fait qu'on est des terroristes de nature, tous les liens qui nous unissent juste pour qu'on en ai plus rien à foutre. L'Homme est dégueulasse. J'veux courir à poil dans les près et m'abreuver de l'eau qui nous tombe du ciel. J'veux me laver dans une rivière glaciale et bouffer de l'herbe comme une chèvre. Mais j'suis coincé dans cette décharge de connerie humaine où on me fout jamais la paix.
Je tire encore sur ce cône aux merveilles avant de le passer à mon voisin que j'ai oublié l'espace d'un instant. Je pose ma tête contre les briques polluées pour le regarder. Il n'a jamais vraiment eu d'ambition dans la vie mis à part celle de se laisser aller au tourbillon immaculé de tous ces nuages que la dope nous apporte immanquablement.
Nous n'avons pas les mêmes idéaux, il est bien trop accroché pour ça. Il s'emmerde encore trop à avoir de l'espoir pour la nature humaine, moi j'ai vite compris qu'elle était moisie, elle est juste bonne pour finir cramée et répandue dans le grand canyon.
Mes yeux mi-écarlates et vitreux glissent une vue floue sur son air de soumission maladive, il a peint son visage de gris pour toujours. Il se fane, il se fade, très lentement il perd la surface de vue. Tant de passivité dans son comportement, tellement, tellement pathétique. J'veux le frapper jusqu'à ce qu'il sorte la tête de l'eau. J'veux le secouer pour qu'il respire comme si c'était la première fois qu'il trouvait l'oxygène.
Il vieillira avant l'âge, ça m'écarte de lui. J'veux vivre ma jeunesse et crever à l'apogée. Foncer dans le mur de toutes mes forces et mourir à trente ans.

Citation :
Si vous voulez mon avis, on fonce tout droit vers une génération d'handicapés sociaux. Quand j'parle d'handicapé sociaux, je le vois pas sous le même angle que les autres parce que dans ce cas, je m'inclurai dans le lot. Non, non, j'n'ai pas à être foutu dans le même panier que les autres. J'suis pas supérieur, mais j'ne veux pas être semblable. J'me dis que bientôt, plus rien ne sera vrai, aujourd'hui on y est presque. Faux sourire, fausse sympathie, faux compliments. Qui, vraiment, n'a jamais pensé à l'immondice des chaussures de la nana d'à côté avant de lui lancer qu'elles étaient vraiment jolies ? L'handicap, c'est l'hypocrisie.

Citation :
TW : Langage dur + Disclaimer : Je ne suis pas en accord avec mon personnage, je n'ai rien contre les personnes ayant des croyances religieuses !

Ouais, fallait arriver avant. Bien avant. Il y a quelques années. Ou même au tout début de ton existence en fait. C'est en fait par là qu'il aurait fallu apparaître pour t'empêcher de devenir cette petite connasse que t'es devenue. C'est pas en venant te râler dessus maintenant que ça va te faire avoir une illumination.
Genre : nouvelle résolution à la con.
Genre : crevarde en rémission.
Genre : la putain de rédemption.

Faut arrêter de croire que les miracles ça peut exister ici bas. Y'a que dans la vie des autres, des plus beaux, des plus riches qu'on en trouve. Vous, vous êtes des pauvres pouilleux, la merde, les ordures des autres. Il y a plus d'espoir pour vous, vous êtes condamnés à patauger dans votre galère jusqu'à votre dernier jour. Tu le sais. Tu penses bien que Fredrik ne le sait pas. Si tu plies face aux autres, c'est leur donner l'opportunité de t'écraser, de te démembrer, de te dépouiller et de tout te prendre jusqu'à aller curer la moelle au creux de tes os. Et tu comptes pas que ça t'arrive, alors tu tiens bon, tu te rends dure, dure, même si les autres doivent en payer les conséquences. Même s'ils doivent souffrir de te côtoyer. T'es bonne qu'à construire ta vie qu'autour de ton petit nombril, parce que c'est comme ça que t'as appris la survie.

Et tu craches sur les empêcheurs de tourner en rond.
Et tu craches sur ceux qui se permettent de vouloir te rendre différente.

Et les p'tits religieux qui viennent tenter de te donner la foi, tu les traumatises. Ils t'insupportent ces cons. Et tu injectes de piquants blasphèmes dans leurs tympans, juste pour avoir le plaisir de les voir blêmir sous ton audace. Juste pour la fierté de les voir pâlir et fuir en courant lorsqu'ils comprennent que « leur Dieu », il te fait pas peur. Que tu veux pas en entendre parler. Tu t'en fous des croyances des autres, toi t'as juste décidé que tu croirais en rien. Même pas en l'humain.

Citation :
TW : Langage dur

Je suis de ceux qui en veulent toujours plus. Je suis de ces avides qui s'attaquent à trop avares. Je suis de ceux qui grattent pour l'amour et qui ne récoltent que de la merde. Je suis de ceux qui sont incompris. Je suis de ceux qui ne comprennent pas. Je me prends l'injustice comme un bus en pleine gueule. Et pourquoi moi j'y ai pas droit, à ce que bien d'autres ont ? Qu'est-ce qui cloche chez moi ? Qu'est-ce qui cloche chez nous ? Les mots du brun, ils s'abattent, tels mille et un poignards en plein buste, déchirant les restes de mon cœur déjà bien foutu en lambeaux.
Qu'est-ce qui cloche chez nous ?
Et pourquoi moi j'y ai pas droit ?

Que mes tympans explosent.
Que la surdité se pointe.
Je préférerais crever que d'entendre ça.

Je sais pas si il essaye de me raisonner. Je sais pas si il cherche à me blesser. A me briser. Je sais pas ce qu'il veut. Mais ça me tue. Mais ça me rend fou. Il ne voit pas la gravité que je remarque. Merde aux conséquences. Et qu'est-ce que je suis censé faire ? Et qu'est-ce que je suis censé dire ? Quand je constate à quel point il en a rien à branler de ma gueule, à quel point il me rejette alors que ma vie tourne littéralement autour de son petit nombril. Je sais que c'est lamentable, je sais que c'est même pire que ça. Je suis pathétique et pourtant j'y peux rien. Ce mec je l'ai pire que dans la peau. Je l'ai dans les veines, je l'ai dans l'air que je respire, je l'ai partout. Il me transforme en créature, un truc à peine encore humain. Ou peut-être trop humain. Je me laisse atteindre, je me laisse fracasser. Je vais en crever. Comment je pourrais ne pas crever quand je vois à quel point il me balance. Il s'en bat les couilles de moi. Putain… Je sais pas si je dois chialer ou gueuler. Je sais pas si je dois péter les plombs ou juste me barrer. Il me fout à bout de nerfs avec si peu. Je suis à fleur de peau. Rien que l'idée que je puisse encore le perdre me rend malade. Alors que ouais, je me rends bien compte que lui, il serait bien content de se débarrasser de moi. C'est bien ce que j'étais censé comprendre, non ? C'est bien ce qu'il a essayé de me faire passer comme message, non ?

Pendant un moment bien trop long, je reste planté comme un con.
Mi-figue, mi-mes couilles, putain.
Il m'a pas frappé. Il m'a fait encore plus mal que s'il m'avait décroché une droite bien placée.
Il m'a fait encore plus mal que s'il m'avait flanqué son genou dans les couilles.

Citation :
TW : Evocation soft de violences sexuelles (sans description) et psychologiques

Tu sais, les années ont passé.
Tu sais, je suis essoufflée. Étouffée. En train de suffoquer.
Je me sens vieille et abandonnée. Et quand tu me regardes, je ne vois rien de plus que ça. Le reflet d'une pauvre fille que t'as pris à sa famille et que tu gardes pour jouer à la poupée. Je vois le visage de l'homme qui m'a épousée. Presque intact. A peine touché par les années. T'es tellement beau en façade. Une face à se damner, promis-juré. Mais derrière. Mais plus bas, dans ton thorax, c'est Bagdad. Les ruines de Pompéi. Les désert de Gobi. Dieu seul sait si tu m'as un jour aimée, pas vrai ? Ou si tout ce que tu as fait, c'est résister. Résister jusqu'à craquer. Jusqu'à plus pouvoir me supporter. Moi. Et mes années en trop. Et tu me les reproches comme si je pouvais les enlever. Et comme si je pouvais te rembourser. Comme si le temps perdu n'était qu'une monnaie. Mais tu sais, me faire pleurer me fera me rider. Me faire crier me fera me briser. Me brider me fera me faner.

Ma vie est fade. Et plus le temps passe, plus tu uses de menaces. Moins tu caches tes vices et tes caprices. Et même à moi tu m'en parles, de ces jardins secrets que tu visites avant de forcer le mien. De toutes ces femmes que tu fréquentes et auxquelles je devrais ressembler. Parce qu'elles sont jeunes et belles. Seins ronds. Minceur. Cheveux parfaits. Jolis vêtements. Générosité. Lèvres gonflées. Regards brûlants. Tenues osées. Malice dans le regard. Désir. Plaisir. Amour. Tant de mots que tu sais si bien dire, avec tant de motivation, quand c'est pour me blesser. Tu étais l'homme avec qui je devais vivre ma vie. Tu es l'homme avec qui je vis un cauchemar. Et si avant tu m'offrais des fleurs pour te faire pardonner, maintenant j'ai ta carte bancaire pour me réconforter. Tes égards, je ne les ai plus.
Oh non. Au grand jamais tu ne m'as frappée. Au grand jamais tu ne m'as cognée. Parce que la violence physique c'est pour les faibles et les lâches. T'y préfères la brutalité des mots. Ceux qui arrachent le cœur sans le moindre toucher. Elle ne laisse pas de preuve. Et les stigmates sont portés sur les sentiments. Tu préfères me saigner de l'intérieur. Et ne jamais me laisser m'envoler. Parce que me tenir entre tes griffes c'est te faire te sentir fort. Puissant. Un véritable dieu.

Mais bébé tu sais, tout c'que t'es, c'est un enfoiré.

Citation :
TW : Langage dur, idées morbides

L'entendre me dire que j'suis bon, ça m'aide carrément pas. C'est comme si on t'félicitait pour ta gentillesse avant d'te mettre un coup d'latte dans les couilles. Ça m'fait le même effet. Et l'pire c'est qu'il en rajoute. Et si c'était la meilleure chose à faire pour moi ? Mais p'tain ! La meilleure chose à faire pour moi, c'est d'rester ! J'vais faire quoi tout seul comme un con ? Sans lui ? J'suis mort. Ça va être le bagne. Et même si j'suis épuisé, même si on galère un peu tous les jours - et certains jours plus que d'autres -, j'revis depuis qu'il est là. Juré. Et tout c'que j'ressentais pour lui c'est revenu. Puissance dix. Cent. Mille. Va savoir. Mais lui, il m'est indispensable. J'me vois plus passer un jour sans voir son visage. Sans caresser ses cheveux. Une nuit sans dormir contre lui. Sans respirer son odeur encore et encore sans jamais en faire une overdose. Chaque fois que j'sors d'ici sans lui, j'me retrouve en apnée. C'est lui qui m'permet de respirer. D'vivre. D'avancer. Sans lui j'me sens juste mort à l'intérieur. Et si il se barre, tu peux parier que j'vais l'être à l'extérieur dans peu d'temps. Parce que j'aurais plus rien à quoi m'raccrocher. Parce que j'aurais plus d'raison d'être prudent. Parce que j'pourrais plus m'dire qu'il faut que j'fasse gaffe pour pouvoir revoir mon vampire. Pour pouvoir lui ramener sa bouffe, pour prendre soin de lui. Espérer le voir sourire. Voire l'entendre rire. Si il m'laisse tomber. Quel espoir il va m'rester mis à part celui que mon calvaire dure pas une éternité ?
Pour moi. Pour lui. J'continue de lui demander de rester. J'insiste. Parce que c'est ça la meilleure chose que j'puisse faire. Il doit rester. J'ai le cœur déchiré. J'me sens désespéré et désemparé. J'te jure que j'pourrais le supplier. Encore plus que ça. Et j'pense qu'à lui faire dire qu'il va pas se barrer. Et il dit rien. Et son silence me provoque une douleur sourde. J'ai l'impression que j'vais devenir dingue. Et que j'vais finir par me frapper la tête contre un mur pour faire taire l'écho. Jusqu'à c'que mon crâne s'ouvre, que ma cervelle explose.. Et il aura qu'à lécher mon sang sur les murs.
Et j'finis par lui lâcher la vérité. La vraie. La pure. La douce ? Je le lui dis, que j'l'aime putain. Et il dit rien. Et moi j'attends. Une réaction. Et mon cœur se serre. J'ai l'impression qu'il va m'balancer une bombe. « J'pars quand même ». Attentat sur ma gueule. Chaque fraction de seconde est une torture.

Citation :
Ca durera le temps que j'voudrais hein ? Ou jusqu'à ce que ça lui reprenne et qu'il retourne sa veste ? Comme un putain de recommencement perpétuel. Faut croire que l'disque de ma vie est salement rayé. Condamné à revivre les mêmes choses. Encore et encore. A voir la cicatrice se rouvrir douloureusement. Et est-ce que ça va avoir le temps de s'refermer avant qu'il replante sa lame ? Qu'il m'balance encore un boulet de canon sur l'coin du pif. Que ses doutes le reprennent et qu'il veuille encore une fois m'échapper. Et moi j'suis un gros con. Et moi j'suis un accro. Parce que j'suis sûr que j'pourrais jamais le laisser partir pour de bon. Que j'vais toujours vouloir le récupérer. Même si j'dois lui courir derrière, me cramponner de toutes mes forces. J'suis qu'un débile, pas vrai ? J'ai toujours eu c'problème. De laisser mes émotions l'emporter sur ma raison. Et si avant c'était principalement la haine et la colère. Aujourd'hui, c'te fois-ci, c'est tout autre chose. Et j'le sens, que ça, ça va être une chose de plus qui va m'ronger de l'intérieur. Cette histoire elle a pas fini d'me miner. Et pourtant, j'arrêterais pour rien au monde. J'te jure. Que j'échangerais rien contre ça. Que si quelqu'un m'disait qu'il pourrait tout régler mais que j'devrais me passer de lui en contrepartie, j'l'enverrais se faire foutre. J'suis qu'un taré borné. Un cinglé attaché.

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MessageSujet: Re: Miyamoto Aoi → rougecarmin. galerie   Miyamoto Aoi → rougecarmin. galerie EmptyMer 27 Jan - 10:30

Tu écris vachement bien Embarassed
(j'avais remarqué dans notre rp aussi Very Happy moi, on dirait des petites crottes de réponse à côté rire )
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MessageSujet: Re: Miyamoto Aoi → rougecarmin. galerie   Miyamoto Aoi → rougecarmin. galerie EmptyMer 27 Jan - 19:14

@Watanabe Noriko → Merci, ton compliment me touche vraiment Crying or Very sad Mais ne te sous-estimes pas ! Tu écris très bien aussi farao
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MessageSujet: Re: Miyamoto Aoi → rougecarmin. galerie   Miyamoto Aoi → rougecarmin. galerie EmptyMer 27 Jan - 21:34

Miyamoto aoi a écrit:
L'handicap, c'est l'hypocrisie.

Nothing more to say.
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